Ce n’est pas une fable de la Fontaine. Une femme qui a glissé sur une frite dans un Quick demande une indemnisation de 100 000 euros. L’avocat belge de la chaîne de fast food est virulent!
« Alors que le film de Coluche, un « belgophope » notoire (ce n’est pas du racisme comme les autres) , se prend les pieds dans le tapis, voilà que nos « amis » français s’attaquent de nouveau à la Belgique.
Nicole Borgnon explique avoir coincé son talon droit dans le paillasson avant de glisser de la jambe gauche sur une frite. Je rajoute dans le dossier que la plaignante vient de Reims, dit Champagne : vous voyez où je veux en venir… Frites, hamburgers et Champagne, bravo la gastronomie française ! mais je m’égare…
Pour Maitre Emmanuel Ludot, qui a été un des vingt avocat de Saddam Hussein le commerçant est responsable, comme tout commerçant, de la sécurité de ses clients. Pour le manager, la thèse de la cliente n’est pas crédible, le restaurant (c’est le terme pour désigner cet établissement) étant régulièrement nettoyé. Le débat est lancé.
N’oubliez pas le contexte dans lequel se déroule cette veule attaque : nous sommes en pleine crise financière et les Français viennent de reprendre le capital de Fortis. Aujourd’hui aidé par l’avocat de Saddam Hussein, ils veulent ponctionner 100 000 euros à un des fleurons de notre économie !
La vraie question à 100 000 euros est sur toutes les lèvres : il y avait-il ce samedi 22 décembre 2007 une frite sur le sol du Quick de Reims ? C’est j’en suis sûr, une enquête qui aurait passionné notre bon Georges Simenon. »
– Maître Van La Plumeke
Une réponse sur « LA FRITE, LA CHUTE ET L’AVOCAT »
« Maître Van La Plumeke » : ha, des barres!
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